Projet IMA3 P5, 2016/2017, TD1 : Différence entre versions

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(Partie boitier)
(Partie électronique)
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=== Partie électronique ===
 
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Pendant cette séance, nous avons pu tester l'envoi sur changement d'état, toujours avec les diodes du FPGA.
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Nous avons commencé par ajouter une horloge sur le détecteur de changement d'état, afin d'augmenter le nombre d'incréments d'horloge sur lequel il est à '1', et ce dans le but de rendre le clignotement d'un diode visible à l’œil nu.
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Ensuite, nous avons relié la sortie du détecteur de changement d'état et des phototransistors par un 'ET' logique, que nous avons ensuite relié aux diodes du FPGA.
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De cette façon, si l'on détecte un changement d'état sur un phototransistor, la nouvelle valeur est alors envoyée sur les diodes. Le système a fonctionné (à voir :p ).
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'insérer photos du test avec changement d'état ici'
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Nous avons ensuite passé le reste de la séance à mettre en commun notre partie avec la partie informatique, en essayant de leur permettre de lire sur le port série du FPGA. Les essais ont pour l'instant été infructueux, mais des progrès ont été faits.
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L'objectif étant que le Raspberry Pi puisse lire les informations envoyées par le FPGA, pour ensuite les transmettre au site Web que nous allons réaliser par la suite.
  
 
=== Partie informatique ===
 
=== Partie informatique ===

Version du 3 mai 2017 à 15:10

Projet IMA3-SC 2016/2017 : Synt'Harpe (Sainte) Laser

Cahier des charges

Description du système

Pour le projet Système Communicant, nous allons réaliser une harpe laser. Notre but est de créer un instrument de musique similaire à une harpe, où les cordes sont remplacées par des capteurs infra-rouges.

Un son sera émis par l'ordinateur dès que le capteur IR captera une main et le joueur pourra avec son autre main moduler l'amplitude de la note.

Dans un premier temps, on travaillera sur une gamme de son sur 8 bits. Puis, nous implémenterons une banque de sons qui nous permettra de sélectionner l'instrument désiré, d'où l'appellation Synt'Harpe.

L'ordinateur décidera du fonctionnement ou non de la harpe. C'est aussi grâce à lui qu'on pourra choisir la banque de sons voulue.

Toutes les banques de sons seront enregistrées sur le Raspberry. Les LEDs signaleront l'emplacement des cordes.

Pour la partie optionnelle, on remplacera les LEDs par des lasers pour un effet visuel de qualité (plus poussé). La fumée permettra de voir les lasers.

Le matériel

  • Un raspberry pi
  • 8 phototransistors
  • 8 émetteurs lasers
  • Des résistances
  • Une structure
  • Carte d'acquisition de type Arduino au début puis FPGA
  • Un ordinateur
  • Une alimentation

Optionnel (visuel)

  • 8 émetteurs laser
  • Un générateur de fumée
  • Une caméra

Séance 1

Partie électronique

Le but de cette première séance était de se répartir les tâches, de tester le matériel mit à disposition et de découvrir le fonctionnement du FPGA.

Le principe de fonctionnement de la harpe est le suivant: Chaque capteur sera situé en face d'un laser. Les capteurs seront dans la partie haute de la harpe afin de limiter les interférences dues à d'autres sources lumineuses. Chaque laser pointera vers un capteur.

* Ajout du dessin de la harpe * 

Les capteurs enverront tous par défaut la même valeur au FPGA. Quand l'utilisateur passera sa main dans la harpe, un faisceau laser sera coupé. Le capteur n'enverra plus sa valeur seuil au FPGA, il aura donc changé d'état. Dès lors que le FPGA détectera un changement d'état, il enverra l'état dans lequel se trouvent les 8 capteurs au Raspberry.

Nous avons réalisé des tests sur les phototransistors et les lasers. Nous avons mis en parallèle un laser et deux capteurs, sans oublier leur résistance de 1.2k Ohms chacune.

Nous avons vu que à luminosité ambiante, quand le laser pointe sur le capteur, celui-ci envoie à l'Arduino une valeur de 950 environ. Ensuite, quand le faisceau laser est coupé, la valeur envoyée par le phototransistor monte à 1020. Puis, nous avons réitéré l'expérience en mettant le système dans une boîte. Cette fois, le valeur est passée de 840 quand le capteur est éclairé par le laser à 900 quand le faisceau est coupé. Nous en avons déduit que nous allons devoir refaire l'expérience une fois la harpe assemblée.

Les lasers étant très directionnels tout comme les phototransistors, nous n'aurons pas de soucis d'interférences. Un capteur détectera uniquement le laser situé directement en face de lui et non ceux de son voisinage.

Partie boitier

Même si il peut paraitre futile d'insérer une partie boitier dans un projet centré sur l'informatique et l'électronique, il s'est avéré que le boitier de notre Harpe nécessitait une attention particulière.

La taille de la harpe à été un sujet de débat, et nous avons réalisé des tests afin de vérifier que des phototransistors trop proches les uns des autres n'allait pas compromettre le bon fonctionnement de la harpe dans son ensemble. En effet, si le phototransistor détectait un autre laser que celui vers lequel il pointe serait extrêmement problématique. Heureusement, il s'est avéré que les phototransistors sont très directionnels, au point que se pose désormais le problème inverse.

Nous allons devoir faire très attention au fait que les lasers soient bien fixés et pointent exactement vers les phototransistors, car dans le cas contraire, ceux-ci ne détectent absolument pas le laser, et tout le principe de fonctionnement s'effondre. La conception et l'assemblage de la boite devront donc être relativement précis, pour éviter ces problèmes.

Enfin, nous avons dès le départ décidé d'éviter l'utilisation de diodes infra-rouges, pour leur préférer les lasers. Tout d'abord, parce que les diodes ne sont en aucun cas assez puissantes pour être détectées par les phototransistors, ce qui une fois de plus rend notre harpe inutile. Ensuite, parce qu'il nous a semblé que réaliser une harpe 'laser' sans lasers était un concept déconcertant, et enlève beaucoup de l’intérêt de ce projet.

Un premier jet de design avait été réalisé avant cette séance, et au vu des données récoltées pendant celle-ci, nous l'avons modifié pour les prendre en compte, notamment la taille des lasers par rapport aux diodes, et la précision requise.

'insérer photos premiers schémas ici'

Partie informatique

Le travail a été séparé en 2 parties, une personne par partie : - une première partie sur le serveur même (page web, système de streaming de son depuis la page web) - une seconde partie sur la lecture du port série

Partie serveur

La première séance a été consacré à deux grands axes : prendre la main à distance sur le raspberry pi et mettre en place le serveur web. Afin de pouvoir contrôler et travailler facilement sur le RPi, l'outil vncserver a été installé sur le raspberry, permettant de contrôler via un interface graphique le RPi depuis un ordinateur branché sur le même réseau. Cet utilitaire permettra a l'avenir de travailler directement sur le RPi sans devoir constamment uploader par ssh le travail effectué.

Coté mise en place du serveur web, l'utilitaire de serveur web apache2 a été installé sans soucis, et les pages d'exemples web et javascript fonctionnent. En revanche, l'utilisation du code d'exemple sur les sockets n'est pas utilisable, le paquet proposé n’existe pas et le site du paquet de socket est mort. Le reste de la séance a été consacré a des recherches sur les moyens de pouvoir streamer du son, recherches non concluantes. Aucune solution n'a été trouvé sans passer par un service internet hébergé par un tier.


Partie lecture port série

Cette première séance fut consacrée à la sélection du langage de programmation et à sa prise en main. Il a été décidé d'utiliser Python pour écrire le programme récupérant et traitant les données récupérées à travers le port série. Python étant un langage fort usité, il possède une très large documentation. Ce fut donc facile de trouver la librairie permettant de lire les données envoyées par le port série.

Un doute subsiste encore sur le type de données envoyé par le port série. L'idéal serait de récupérer un tableau de 8 entiers de type binaire correspondant aux états des 8 ports liés aux "cordes" laser, pour pouvoir ensuite traiter ces données facilement.

Séance 2

Partie électronique

Lors de cette séance, nous avons réalisé le premier circuit sur le FPGA.

Nous avons commencé par réaliser un circuit simple, qui envoie en permanence l'état des huit phototransistors au port série. Les phototransistors sont alors directement reliés à celui-ci. Nous avons pu tester le bon fonctionnement du système grâce aux diodes du FPGA. Nous avons branché en parallèle sur le circuit les huit diodes, afin de vérifier qu'un signal était bien envoyé en permanence, on a pu les voir s'éteindre lorsqu'on éclairait un laser. Ces diodes se sont avérées très utiles, car il n'est pas encore possible d'effectuer les tests sur le port série, car la partie informatique n'est pas encore opérationnelle, on ne peut donc pas lire directement sur le port série pour le moment.


'Insérer montage d'envoi constant ici'


Nous avons ensuite réalisé un montage permettant de faire l'envoi seulement sur changement d'état, comme prévu à la séance 1 Nous avons donc réalisé un système de bascules permettant de comparer l'état actuel de chaque diode avec son état précédent, puis de réaliser l'envoi seulement si une différence était observée. Comme précédemment, les diodes sont reliées directement au Port Série, mais cette fois-ci au lieu de brancher le Bit d'envoi du port Série sur un Vcc, soit un '1' logique, nous l'avons relié à la vérification de changement d'état, qui passe à '1' uniquement avec un changement d'état.


'Insérer montage d'envoi sur changement d'état ici'


Le problème qui s'est alors posé était de savoir si on envoyait le signal assez longtemps pour qu'il puisse être lu. En effet on envoie un signal seulement si il y a changement d'état, et cette vérification se fait à chaque incrément d'horloge. Hors, la différence sera donc observée sur un seul incrément d'horloge, par conséquent, on n'envoie de signal que pendant ce seul incrément. Pour l'instant, nous supposons que le port série est capable de stocker les données à envoyer en un seul incrément d'horloge. Cependant, si lors des tests, ça ne fonctionne pas, nous prévoyons d'utiliser un compteur pour pouvoir envoyer le signal plus longtemps au Bit d'envoi du port série, et ainsi laisser le temps au port série d'envoyer l'information.

Partie boitier

Pendant cette séance, nous nous sommes focalisés sur le FPGA, mais nous avons néanmoins terminé la conception du boitier de la harpe, sous la forme de trois 'boites' crénelées, que nous avons ensuite l'intention de découper au FabLab puis d'assembler.


'insérer photos des boites ici'


Il s'est avéré que réaliser des boites crénelées rendrait tout le boitier beaucoup plus solide, et donc fiable.

Partie informatique

Séance 3

Partie électronique

Pendant cette séance, nous avons pu tester l'envoi sur changement d'état, toujours avec les diodes du FPGA.

Nous avons commencé par ajouter une horloge sur le détecteur de changement d'état, afin d'augmenter le nombre d'incréments d'horloge sur lequel il est à '1', et ce dans le but de rendre le clignotement d'un diode visible à l’œil nu. Ensuite, nous avons relié la sortie du détecteur de changement d'état et des phototransistors par un 'ET' logique, que nous avons ensuite relié aux diodes du FPGA. De cette façon, si l'on détecte un changement d'état sur un phototransistor, la nouvelle valeur est alors envoyée sur les diodes. Le système a fonctionné (à voir :p ).


'insérer photos du test avec changement d'état ici'


Nous avons ensuite passé le reste de la séance à mettre en commun notre partie avec la partie informatique, en essayant de leur permettre de lire sur le port série du FPGA. Les essais ont pour l'instant été infructueux, mais des progrès ont été faits.

L'objectif étant que le Raspberry Pi puisse lire les informations envoyées par le FPGA, pour ensuite les transmettre au site Web que nous allons réaliser par la suite.

Partie informatique

Séance supplémentaire 1

Partie électronique

Partie informatique

Conclusion